Fin 2010... 

 

STONE AGE n'est plus, le studio de Ménilmontant a été vidé et abandonné, j'ai vendu dans un moment de désespoir ma belle batterie PREMIER ainsi que la basse IBANEZ et son ampli qui m'appartenaient et le groupe se volatilise.

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Claude REDON ne veut plus entendre parler de musique, Marc MILGRAM, Michel ATTYASSE et Jean-Marc COHEN voguent vers de nouveaux horizons et reforment un autre groupe.

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Benoît de BASQUIAT et moi n'avons plus de matos, c'est le trou noir. Didier NATTAF cherche parmi ses connaissances d'éventuels partenaires, nous tentons quelques essais non concluants.

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L'idée ne nous lâche tout de même pas et au bout de 2 ans de recherches et de galères, nous détenons peut-être une piste en la personne de Philippe RITALY, bassiste de son état, frère d'une relation de Didier. Rendez-vous est pris pour une répétition d'essai au théâtre des Sablons à Neuilly-sur-Seine. Benoît de BASQUIAT et Claude REDON sont présents.

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La répétition est encourageante mais Claude REDON lâche l'affaire.

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Le frère de notre nouveau bassiste, Alain RITALY, que Didier connaît et qui joue déjà dans un groupe, est partant pour s'intégrer et nous propose de répéter une fois par semaine dans sa maison de la Garenne-Colombes, au sous-sol de laquelle il a aménagé un studio de musique. Ce n'est certes pas le confort que nous avions dans notre studio de Ménilmontant mais nous acceptons bien volontiers cette opportunité.

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Le répertoire reste assez semblable au nôtre mais les répétitions sont tout de même assez faiblardes. Nous décidons malgré tout de faire la Fête de la Musique 2014. Ce sera en privé, dans la maison du green-keeper du golf de Saint-Germain-en-Laye. Nous serons très loin du faste du kiosque Courteline. C'est un lot de consolation.

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Notre prestation est honnête sans plus, polluée par la présence malvenue d'un guitariste envahissant et d'un pianiste au demeurant sympathique mais à des années-lumière de notre Claude chéri.

 

Philippe RITALY, le bassiste, développe malheureusement une maladie grave. Il meurt dans les mois qui suivent, dans des conditions épouvantables.

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Exit NO NAME...

 

à suivre...

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